Brice Tate. 15 años. Cross Lanes, Virginia Occidental.
IN MEMORIAM
Brice se suicidó de un disparo tras ser víctima de ciberbullying por parte de un grupo de hostigadores criminales que operan a través de las redes sociales, en especial Instagram. La banda criminal está en la mira del FBI, de EUROPOL y de diversas justicias europeas.
La Organización Mundial Bullying Sin Fronteras confirma que Brice Tate, un adolescente de 15 años que vivía en Cross Lanes, Virginia Occidental, se suicidó de un disparo tras ser víctima de ciberbullying por parte de un grupo de hostigadores criminales que operan a través de las redes sociales, en especial Instagram y que según autoridades judiciales de los Estados Unidos de América, ha incrementado significativamente su actividad durante este 2025.
120 mensajes en pocos minutos:
El hecho ocurrió el 6 de noviembre, cuando Bryce llegó a su casa después del gimnasio, comió con su familia y salió a jugar básquetbol. A las 16:37 horas recibió el primer mensaje de un número desconocido. Tres horas más tarde fue encontrado muerto en el interior de su vivienda por un disparo autoinflingido.
De acuerdo con la reconstrucción de los hechos, los responsables se hicieron pasar por una adolescente de 17 años, utilizando datos personales del joven obtenidos desde sus redes sociales públicas.
El grupo criminal de hostigadores practicó inteligencia de redes:
A Brice, los criminales cibernéticos le mencionaron amigos, el gimnasio al que asistía y su equipo escolar, con el fin de generar confianza. Le enviaron fotografías que, según la investigación judicial preliminar, corresponderían a otra víctima y no a imágenes generadas digitalmente. De ese modo se ganaron su credibilidad y le pidieron fotos íntimas, conforme el intercambio se producía en apariencia con una chica vecina.
Tras obtener material íntimo del adolescente, los extorsionadores exigieron a Brice 500 dólares y amenazaron con enviar las imágenes a su familia y contactos en la escuela, el gimnasio y el vecindario en general. Como el joven no contaba con esa suma, los mensajes se volvieron más agresivos y frecuentes. En los últimos 20 minutos de su vida recibió 120 mensajes, lo que, según investigadores, es una táctica para mantener a la víctima bajo presión constante.
El peligro del grupo '764':
La familia desconocía la existencia de este tipo de delitos hasta que la policía revisó el teléfono del joven y derivó el caso al FBI, que actualmente mantiene la investigación activa. Las autoridades señalan que la dinámica es consistente con las operaciones de la red conocida como '764', un grupo internacional dedicado a la explotación sexual de menores en línea, con ramificaciones en varios continentes.
Más de 40 mil denuncias en todo el mundo contra '764':
El Equipo Multidisciplinario Mundial de Bullying Sin Fronteras confirma que según el relevamiento de los años 2024 y 2025, ya hubo la menos 40 mil denuncias en todo el mundo contra este grupo que tiene bases al menos en Nigeria, Algeria y Colombia.
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L'Organisation Mondiale Bullying Without Borders confirme que Brice Tate, un adolescent de 15 ans, s'est suicidé par arme à feu après avoir été victime de cyberharcèlement. Un groupe de harceleurs criminels opérait via les réseaux sociaux, notamment Instagram, où, selon les autorités judiciaires américaines, l'activité a considérablement augmenté en 2025.
120 messages en quelques minutes :
L'incident s'est produit le 6 novembre, lorsque Bryce est rentré de la salle de sport, a déjeuné en famille et est allé jouer au basket. À 16h37, il a reçu le premier message d'un numéro inconnu. Trois heures plus tard, il a été retrouvé mort à son domicile, victime d'une blessure par balle auto-infligée.
Selon la reconstitution des faits, les responsables se sont fait passer pour une jeune fille de 17 ans, utilisant les informations personnelles du jeune homme obtenues sur ses comptes publics de réseaux sociaux.
Le groupe de harceleurs criminels a mené une collecte de renseignements en ligne.
Pour gagner la confiance de Brice, les cybercriminels ont mentionné ses amis, la salle de sport qu'il fréquentait et son équipe sportive scolaire. Ils lui ont envoyé des photos qui, selon l'enquête préliminaire, appartenaient à une autre victime et n'étaient pas des images générées numériquement. Cela leur a permis de gagner sa confiance et de lui demander des photos intimes, comme s'il s'agissait d'une voisine.
Après avoir obtenu des documents intimes de l'adolescent, les maîtres chanteurs ont exigé 500 dollars de Brice et ont menacé de les envoyer à sa famille et à ses contacts à l'école, à la salle de sport et dans le quartier. Comme le jeune homme n'avait pas cette somme, les messages sont devenus plus agressifs et plus fréquents. Au cours des 20 dernières minutes de sa vie, il a reçu 120 messages, ce qui, selon les enquêteurs, est une tactique pour maintenir la victime sous pression constante.
Le danger du groupe « 764 »:
La famille ignorait tout de ce type de crime jusqu'à ce que la police examine le téléphone du jeune homme et transmette l'affaire au FBI, qui mène actuellement une enquête.
Les autorités indiquent que ce mode opératoire correspond à celui du réseau « 764 », un groupe international spécialisé dans l’exploitation sexuelle en ligne de mineurs et présent sur plusieurs continents.
Plus de 40 000 plaintes dans le monde :
l’Équipe mondiale multidisciplinaire de lutte contre le harcèlement sans frontières confirme que, selon son enquête menée entre 2024 et 2025, au moins 40 000 plaintes ont déjà été déposées dans le monde contre ce groupe, qui possède des bases au moins au Nigéria, en Algérie et en Colombie.
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Organización Mundial Bullying Sin Fronteras
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